Carrosserie de grézan - Nîmes, depuis 1964
L’histoire de la Carrosserie de Grézan prend racine bien avant sa fondation. Elle commence dans les années 40, dans un atelier modeste où la mécanique n’était pas qu’un métier, mais un art transmis avec soin.
Louis Penchenatti, figure discrète mais déterminée, est reconnu pour sa maîtrise des Simca, qu’il prépare avec rigueur et passion. Son engagement et son savoir-faire l’amènent à remporter la catégorie 3 du Rallye de Monte-Carlo, une victoire artisanale qui marque les esprits de ceux qui le connaissaient. Sur l’affiche officielle, une erreur s’est glissée : son nom est mal orthographié. “Pinchinatti” au lieu de Penchenatti. Une coquille restée telle quelle, comme un clin d’œil à une époque où l’essentiel ne résidait pas dans la reconnaissance, mais dans le travail bien fait.
C’est dans cet esprit que Claude Penchenatti, son fils, ouvre en 1964 la Carrosserie de Grézan. Le projet est simple : créer un atelier où chaque réparation reflète la même exigence que celle transmise par son père. À l’époque, l’équipement est modeste, mais la réputation grandit rapidement. On vient à Grézan pour la rigueur, la transparence, et le soin apporté à chaque intervention
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Denis Penchenatti, aujourd’hui à la tête de l’entreprise, poursuit cette tradition avec une nouvelle énergie. Il modernise les installations, développe l’équipe, structure l’activité. Mais l’esprit reste le même : un profond respect du métier, une attention aux détails, et une relation sincère avec les clients.
La Carrosserie de Grézan n’est pas née d’une ambition tapageuse. Elle est née d’un héritage : celui d’un artisanat précis, d’une passion partagée, et d’un engagement constant. Une histoire de famille, vivante, qui traverse les générations sans jamais perdre son sens
Carrosserie de grézan - Penchenatti
Louis Penchenatti (1887–1971)
L’histoire commence avec Louis, né en 1887 à Nice, orphelin à deux ans, élevé dans l’ombre mais animé très tôt par une force tranquille. Après avoir servi la France pendant la Première Guerre mondiale, il s’installe à Nîmes et devient mécanicien aux établissements Roland. Pendant l’Occupation, il entre en résistance, est arrêté par la Gestapo, puis déporté à Mauthausen. Il survivra à l’horreur des camps et, à son retour, ouvrira un petit garage. Silencieux mais engagé, il laisse derrière lui plus qu’un parcours . En 1963, il est fait chevalier de la Légion d’honneur pour son engagement dans la Résistance.
Louis Penchenatti (1913–2016)
Son fils, qui porte le même prénom, grandit à Bellegarde puis à Nîmes, baigné dans l’univers mécanique de son père. Il fait ses armes sur les Simca, qu’il prépare avec exigence et précision. Une passion qui le mènera jusqu’au Rallye de Monte-Carlo, où il remporte la catégorie 3. Une victoire artisanale, sans grands moyens, mais avec un immense savoir-faire. Sur l’affiche officielle, son nom est mal orthographié — “Pinchinatti” au lieu de Penchenatti comme un clin d’œil à une époque où l’essentiel ne résidait pas dans la reconnaissance, mais dans le travail bien fait.
Claude Penchenatti (fondateur, 1964)
En 1964, c’est Claude, fils de Louis, qui donne une nouvelle impulsion à l’héritage familial en fondant la Carrosserie de Grézan. L’atelier est modeste, mais les valeurs sont solides : travail bien fait, transparence, respect du client. Très vite, la réputation grandit. On vient à Grézan non pour une enseigne tape-à-l’œil, mais pour la rigueur d’un carrossier qui considère chaque réparation comme un engagement.
Denis Penchenatti (actuel dirigeant)
Aujourd’hui, c’est Denis qui perpétue l’histoire. Il modernise les installations, structure l’activité, développe l’équipe. Mais l’essentiel reste intact : un profond respect du métier, une attention méticuleuse au détail, et cette relation humaine, sincère, avec chaque client. À travers lui, la Carrosserie de Grézan reste fidèle à ses racines artisanale, familiale, exigeante.
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